Alors que la France s’est engagée en 2021 dans une sortie progressive de la captivité des cétacés, le Zoo de Beauval a récemment annoncé un projet de création d’un « centre d’études et de recherche » pour dauphins.

Si le terme scientifique semble rassurant, plusieurs associations de protection animale, dont One Voice, C’est Assez et Tilikum Spirit, dénoncent un vocabulaire de façade : derrière cette appellation se cacherait en réalité un nouveau delphinarium, synonyme de captivité prolongée et de souffrances pour les dauphins.

Les critiques se concentrent sur plusieurs points :

Depuis quelques semaines, Venise a une nouvelle célébrité aquatique : un dauphin solitaire, surnommé Mimo, qui attire tous les regards dans la lagune de la Sérénissime. Installé depuis un mois, le cétacé s’est fait remarquer par ses acrobatie spectaculaires, captivant habitants et touristes.

« Je viens d’entendre à la radio qu’il était en train de sauter. Il a l’air d’aller plutôt bien. Je crois qu’il a trouvé un nouvel habitat », confie un passant émerveillé. Pourtant, si l’histoire fait rêver, les spécialistes s’inquiètent pour le bien-être du dauphin.

Bien que la lagune vénitienne soit vaste et pittoresque, elle ne constitue pas un habitat naturel idéal pour un dauphin. Ces cétacés sont habitués à parcourir de longues distances en mer ouverte, à chasser des poissons variés et à évoluer en groupes sociaux complexes.

Mimo, solitaire, doit désormais composer avec :

Les orques et les dauphins du Marineland d’Antibes sont actuellement en grand danger, alerte le parc animalier, définitivement fermé depuis janvier 2025. Le parc tire la sonnette d’alarme concernant le sort de ses derniers pensionnaires, à savoir deux orques et douze dauphins, encore présents dans les bassins vieillissants de l’établissement.

Selon les responsables, il devient urgent de transférer ces animaux vers des structures adaptées pour assurer leur bien-être et leur sécurité.

Depuis la fermeture du parc, les installations du Marineland ne sont plus entretenues comme auparavant. Les bassins vieillissants et le manque de ressources adaptées posent un risque direct sur la santé des animaux marins.

Les orques et dauphins, espèces intelligentes et sociales, nécessitent des bassins spacieux, une eau de qualité et un environnement stimulant. Le maintien dans les anciens bass…

Une histoire touchante et pleine d’espoir nous vient du zoo d’Amnéville (Moselle). Au mois de mai dernier, les soigneurs ont découvert un macaque femelle inconnu, caché dans un arbre, victime probable d’un trafic illégal. Après trois mois passés en quarantaine, l’animal a désormais été confié à un refuge spécialisé, annonce le zoo, relayé par ICI Lorraine le jeudi 6 novembre.

Le macaque a été baptisé Marcelle, et son histoire illustre à la fois les dangers du trafic d’animaux et le rôle crucial des structures de sauvegarde.

Marcelle a été repérée alors que le personnel du zoo installait le parcours de la "forêt des dinosaures".Thomas Grangeat, directeur zoologique adjoint, raconte :

« On a commencé à voir la canopée bouger, on a bien vu que c'était quelque chose de plus gros qu'un écureuil. »

Cette découverte inattendue a immédiatement conduit à la mise en place de mesures de sécur…

Né au zoo de Jurques, près de Caen (Calvados), en avril 2025, un jeune vautour jaune a récemment fait ses premiers pas dans la liberté. Le mercredi 5 novembre 2025, il a quitté la Normandie pour retrouver son milieu naturel, dans les montagnes bulgares.

Cette réintroduction s’inscrit dans un programme de conservation et de protection des vautours jaunes, une espèce vulnérable dont la population reste fragile en Europe.

Depuis sa naissance au zoo de Jurques, ce jeune rapace a été soigné et suivi par les équipes spécialisées. Le but de cette réintroduction est de permettre au vautour de retrouver son instinct naturel, tout en garantissant sa sécurité.

Il rejoindra prochainement une dizaine d’autres vautours jaunes déjà établis dans la région. Ces rassemblements sont essentiels pour la reconstitution de colonies stables et la préservation de l’espèce.

Les amoureux de la faune et de la photographie ont rendez-vous avec l’art et la nature ! Kyriakos Kaziras, photographe grec installé à Nantes, expose actuellement plus de 150 clichés animaliers dans le show-room de House & Garden, à Saint-Philbert-de-Grand-Lieu.

Pour rencontrer l’artiste et échanger autour de son travail, il sera présent sur place ce vendredi 7 et samedi 8 novembre 2025.

Kyriakos Kaziras a commencé la photographie à seulement 7 ans, lorsqu’il a reçu son premier appareil en Grèce. Depuis, il s’est entièrement consacré au monde animal, capturant la beauté et la puissance des créatures sauvages dans leur habitat naturel.

Son parcours l’a mené dans des territoires variés et spectaculaires :