🐓 Fin d’une belle aventure : le Parc de la Couère ferme ses portes après 36 ans d’histoire

C’est une page qui se tourne et une part de nostalgie qui s’en va.
Dans le Maine-et-Loire, le Parc de la Couère, véritable havre de nature et de mémoire, fermera définitivement ses portes ce dimanche 2 novembre, après plus de 36 années d’existence, rapporte L’Éclaireur.

🌿 Un lieu entre nature, animaux et patrimoine

Situé à Châtelais, près de Segré-en-Anjou, le parc s’étend sur plus de 30 hectares de verdure, où évoluent de nombreux animaux en semi-liberté.
Mais la Couère, c’était bien plus qu’un simple parc animalier : c’était une immersion dans un autre temps, une balade bucolique au cœur d’un village reconstitué des années 1900, où les visiteurs pouvaient flâner entre ateliers d’artisans, vieux objets et scènes de la vie rurale d’autrefois.

🐑 Une histoire de passion et de partage

Créé par Joël Nardin, le Parc de la Couère est né d’une idée simple mais magnifique : faire voyager plusieurs générations dans l’univers des années passées, entre nostalgie et émerveillement.
Depuis son ouverture, il a accueilli des milliers de visiteurs — familles, écoles, amoureux des animaux et du patrimoine rural — venus partager un moment suspendu dans le temps.

Dans un message publié sur Facebook, les gérants ont exprimé leur émotion :

« Tant de souvenirs, tant de moments précieux partagés en famille et entre amis. »

Un message empreint de gratitude, adressé à toutes celles et ceux qui ont contribué à faire vivre ce lieu hors du temps.

🐇 Un refuge pour la mémoire et la nature

Au fil des années, la Couère a su préserver une relation douce et respectueuse entre l’homme et l’animal.
Poules, chèvres, lapins, ânes et paons y cohabitaient dans un environnement paisible, invitant petits et grands à redécouvrir la simplicité du contact avec le vivant.

Pour beaucoup, ce lieu représentait un refuge authentique, loin du tumulte quotidien — un endroit où le chant du coq et le craquement du bois remplaçaient les bruits de la ville.

💬 Un au revoir, pas un adieu

Si la fermeture du parc marque la fin d’une aventure, elle laisse aussi derrière elle un héritage de souvenirs et d’émotions partagées.
Le Parc de la Couère restera gravé dans la mémoire de ceux qui l’ont visité, comme un symbole d’amour des animaux, de la nature et du patrimoine rural.

Et peut-être, un jour, renaîtra-t-il sous une autre forme — car les lieux portés par la passion ne disparaissent jamais vraiment.

🕊️ En conclusion

Avec la fermeture du Parc de la Couère, c’est un morceau de la vie à la campagne d’autrefois qui s’éteint, mais aussi une belle leçon : celle de préserver les liens entre générations, entre humains et animaux, entre passé et présent.

Un dernier salut à ce lieu unique où la nature, la tendresse et la mémoire se rencontraient.