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Le refuge Cheval libre 06, situé dans le quartier de Saint-Isidore à Nice, traverse une période critique. L’association, qui recueille des chevaux et équidés victimes d’abandon ou de maltraitance, doit quitter son terrain avant le mois de juin, sous peine d’expulsion par les forces de l’ordre.

Frédérique Goutard, fondatrice du refuge, tire la sonnette d’alarme. Le site accueille actuellement 18 chevaux et une ânesse, sauvés au fil des années, parfois dans des états de grande détresse. Parmi eux, certains sont âgés ou fragiles, ce qui rend leur déménagement particulièrement délicat.

Installée depuis neuf ans sur un terrain agricole privé, l’association n’a jamais pu obtenir un bail durable. Le contrat, précaire depuis le début, ne permettait aucune visibilité à long terme. Le loyer, fixé à 1 600 euros par mois, est aujourd’hui devenu insoutenable pour l'association.

« On a demandé une baisse …

À l’arrivée du printemps, la nature se réveille… et les naissances de chatons explosent. À Lyon, comme dans beaucoup d’autres villes, cette période marque aussi le début d’un véritable casse-tête pour les associations de protection animale. Trop de naissances, trop peu d’adoptants : les rues voient fleurir des portées entières de chatons sans famille, vouées à errer, parfois dans des conditions déplorables.

Heureusement, dans la métropole lyonnaise, de nombreuses associations se battent chaque jour pour offrir un avenir meilleur à ces animaux. Parmi elles, Sans Croquettes Fixes, une structure bien connue localement, œuvre au quotidien pour recueillir, nourrir, soigner et socialiser des chats errants. Leur objectif est simple : leur donner une seconde chance, et surtout, rappeler un message fort : « l’abandon ne devrait pas être une solution ».

Même combat du côté de Ron’Rhône, association fondée e…

Ce week-end, à Valençay, petite commune de l’Indre, les habitants ont été plongés dans le noir… pour une raison pour le moins inattendue. Dans la nuit de samedi à dimanche, environ 700 foyers ont été privés d’électricité, certains jusqu’à midi. La cause ? Un castor un peu trop zélé, qui a abattu un peuplier… directement sur une ligne électrique.

L'incident s’est produit peu avant 2h du matin, selon les informations relayées par La Nouvelle République. Dans un premier temps, les équipes d’Enedis ont tenté de rétablir le courant à distance, sans succès. L’origine de la panne restait floue, jusqu’à ce qu’une inspection sur le terrain révèle une scène aussi rare qu’étonnante : un arbre s’était effondré sur la ligne électrique, provoquant la coupure.

Le peuplier en question, situé sur une propriété privée, montrait des signes caractéristique…

Le jeudi 10 avril dernier, une scène aussi rare que tragique a bouleversé les habitants de Calais : une baleine de 18 mètres de long pour environ 15 tonnes a été retrouvée échouée face au nouveau port. Une découverte saisissante, d’autant plus que l’animal s’était retrouvé coincé dans une zone particulièrement étroite, rendant toute intervention compliquée.

Comment une créature aussi imposante a-t-elle pu s’aventurer aussi près des côtes, et surtout dans un endroit aussi exigu ? C’est la question que se posent aussi bien les habitants que les spécialistes. Si les cétacés sont parfois observés au large de la Manche, il est extrêmement rare qu’une baleine s’échoue dans un port, coincée entre infrastructures humaines.

Selon les informations relayées par La Voix du Nord, un premier essai de remorquage a été envisagé dès le vendredi 11 avril. Malheureusement, l’état de décomposition avancé du cétacé, con…

C’est un appel à la solidarité locale lancé par le zoo de la Boissière du Doré, en Loire-Atlantique. L’un de leurs oiseaux vedettes, Zéphyr, un milan de Brahme, s’est envolé au cours d’un spectacle en vol libre et n’est toujours pas revenu.

C’est lors d’une représentation en plein air, où les fauconniers font voler des rapaces rares au-dessus du public, que Zéphyr a pris la tangente. L'oiseau, identifiable grâce à sa tête blanche et une bague violette à la patte gauche, n’est pas revenu à son point de départ, contrairement à son habitude.

Sur la page Facebook du zoo, l’annonce a été faite samedi matin :

"Zéphyr s’est égaré lors d’un spectacle d’oiseaux en vol libre."Le message est clair : le zoo lance un appel à la vigilance et demande à être contacté par mail ou téléphone si quelqu’un aperçoit l’animal.

Depuis cette annonce, les signalements a…

Au Gabon, au cœur de l’une des dernières grandes forêts tropicales du monde, un homme s’est donné une mission aussi noble que risquée : développer une activité d’éco-tourisme respectueuse des gorilles. Son nom ? Max Hurdebourg, écologue français et grand spécialiste des gorilles des plaines.

Il y a huit mois, Max lançait une expédition inédite. Objectif : identifier de nouveaux sanctuaires jamais explorés, où les gorilles vivent encore loin de toute présence humaine. Cette aventure lui a été confiée par une ONG environnementale souhaitant étudier la possibilité d’un tourisme durable, centré sur l’observation des grands singes dans leur habitat naturel.

Caméra au poing, Max filme lui-même sa progression dans cette jungle dense et vivante. Et après des semaines de marche, de patience et de silence, la récompense est là : d’abord un mâle solitaire, puis une famille entière de gorilles, surgissant de la végé…

C’est une nouvelle teintée de joie et de tristesse que le parc animalier Écozonia, situé près de Perpignan, a annoncée ce vendredi 11 avril. Un petit mâle panthère de l’Amour, l’espèce de félin la plus menacée au monde, est né le 1er mars. Mais sa venue au monde s’est accompagnée d’un drame : sa mère, Zyra, est morte quelques jours plus tard, à la suite de complications post-partum.

La naissance de ce petit félin est une victoire pour les équipes du parc Écozonia, qui se consacrent à la protection des grands prédateurs. Les panthères de l’Amour, originaires de l’Extrême-Orient russe et du nord-est de la Chine, sont aujourd’hui au bord de l’extinction : on estime qu’il ne reste qu’une centaine d’individus à l’état sauvage.

« Toute l’équipe se réjouit alors de cette incroyable nouvelle », a écrit le parc dans un communiqué publié sur son site. Mais l’euphorie est de courte durée.

Dans le parc de l’Orangerie, à Strasbourg (Bas-Rhin), un arbre gravement endommagé devait être abattu. Mais deux locataires inattendus lui offrent un sursis : des cigognes y ont fait leur nid en pleine période de reproduction, rendant toute intervention impossible pour l’instant.

Le parc de l’Orangerie, lieu emblématique de Strasbourg où les cigognes sont reines, voit l’un de ses arbres centenaires bénéficier d’un sursis inespéré. Alors que sa coupe était programmée en raison de son mauvais état, deux cigognes ont choisi ses branches pour y construire leur nid. Une installation qui change la donne : la législation protégeant ces oiseaux durant la période de reproduction, toute action sur l’arbre est suspendue.

Pour de nombreux visiteurs, cette trêve est une bonne nouvelle. « Les cigognes étaient probablement là avant nous. C’est leur endroit, leur nid, leur arbre. Nous devons respecter cela », estime un…

C’est une histoire à peine croyable, et pourtant bien réelle : un manchot du Cap a failli devenir (bien malgré lui) le héros d’un crash d’hélicoptère sur une minuscule île au large de l’Afrique du Sud. Spoiler alert : tout le monde s’en sort bien – plumes comprises !

Le 19 janvier dernier, un hélicoptère transportant quatre personnes survolait Bird Island, un petit bout de terre sauvage connu pour abriter près de 2 000 manchots du Cap, une espèce malheureusement en voie de disparition. Jusqu’ici, tout allait bien. Mais c’est à l’atterrissage que l’histoire prend une tournure... digne d’un scénario de série animalière dramatique.

Après s’être posé, l’un des spécialistes présents à bord a décidé de transporter l’un des manchots vers la ville côtière de Gqeberha. Le précieux passager à plumes a donc été installé dans une boîte en carton, posée sur les genoux du passager avant gauche.

Mais voilà : lors du redécollage, à peine 15 mètr…

C’est une annonce qui fait du bruit dans les forêts de Transylvanie… et dans les sphères politiques comme écologiques : la Roumanie abriterait désormais près de 13 000 ours bruns, soit bien plus que les 8 000 estimés jusqu’à présent. Cette réévaluation majeure, dévoilée par le gouvernement roumain le 10 avril 2025, s’appuie pour la première fois sur des données ADN scientifiques issues d’un vaste projet lancé en 2021.

« Pour la première fois dans l'histoire de la Roumanie, nous pouvons déterminer sur la base d'éléments scientifiques solides le nombre d'ours présents dans nos forêts », a déclaré le ministre de l’Environnement, Mircea Fechet.

Financé à hauteur de 11 millions d’euros par l’Union européenne, le programme s’est appuyé sur 24 000 échantillons de déjections et de poils d’ours prélevés à travers le pays. Résultat : une population estimée entre 10 419 et 12 770 individus, alors q…

« J’ai cru que c’était un requin ». Cette phrase glaçante, prononcée par une jeune nageuse au large de Long Beach, en Californie, a été reprise en boucle ces derniers jours par les médias américains : CNN, ABC, CBS… Et pour cause. Les agressions d’humains par des otaries se multiplient sur la côte ouest des États-Unis, et les scènes évoquent davantage un film d’horreur qu’un documentaire animalier.

🎒 Lors de son entraînement en mer, l’adolescente a été mordue à plusieurs reprises par une otarie avant de regagner la plage, choquée mais heureusement peu blessée. Un mois plus tôt, un surfeur a raconté une scène similaire : « Elle avait l’air possédée, comme démoniaque », dit-il de l’otarie qui l’a attaqué sans prévenir.

Si ces attaques sont spectaculaires, elles ne relèvent pas de l’animal "méchant" ou devenu fou. Ces otaries sont en réalité victimes d’une toxine marine, produite pa…

L'innovation scientifique fait parfois des promesses impressionnantes, et l'entreprise américaine Colossal Biosciences semble en avoir réalisé une qui a retenu l'attention du monde entier. Fondée en 2021, cette start-up spécialisée dans la désextinction, une technique visant à ramener à la vie des espèces disparues, revendique avoir réussi un exploit : la résurrection du loup sinistre (Canis dirus), un prédateur ayant disparu il y a plus de 10 000 ans. Mais derrière cette annonce spectaculaire, se cache une question plus complexe sur ce que signifie vraiment "ramener à la vie" une espèce disparue.

La première annonce officielle de cette "désextinction" a été largement médiatisée, avec la couverture du magazine Time, qui a consacré sa une à cette découverte, montrant une image d'un loup au pelage épais et imposant. Trois louveteaux, Romulus, Remus, et Khaleesi, sont nés l’automne dernier et cet hiver. Ces nouveaux-nés ne sont…