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C’était un petit coin de paradis pour les amoureux des chiens : la plage du Tertre Pelé, à Saint-Briac-sur-Mer, avait été la seule de la côte d’Émeraude à ouvrir ses bras (et son sable) aux compagnons à quatre pattes durant tout l’été. Une initiative inédite, lancée en 2023 par le maire Philippe Fourneyron, fraîchement élu, qui souhaitait répondre à une demande forte des habitants. « Il y a des gens qui promènent leur chien toute l’année ici, et qui se retrouvent sans solution dès l’arrivée des touristes », expliquait-il alors. Un geste pour les Briacins… et un sacré coup de projecteur pour la commune.

Ce qui devait être un havre tranquille est vite devenu un lieu de rendez-vous incontournable pour les toutous de toute la région. À 40, 50, voire 60 kilomètres à la ronde, les propriétaires de chiens se sont passés le mot. Résultat : la petite crique sauvage du Tertre Pelé s’est retrouvée bondée, non pas de parasols, ma…

Dans la Drôme, un petit coin de paradis consacré aux perroquets vit des heures sombres. Ce parc animalier, reconnu pour son engagement envers la protection et la sensibilisation autour de ces oiseaux exotiques, fait aujourd’hui face à une décision administrative lourde de conséquences : un arrêté préfectoral interdit désormais l’ouverture au public. Une mesure qui prive le parc de sa principale source de revenus et remet en cause sa survie même.

L’arrêté, pris récemment par la préfecture de la Drôme, interdit au parc de présenter ses oiseaux au public, invoquant des raisons administratives et réglementaires encore floues selon les gérants. Ces derniers, passionnés et investis depuis des années, expriment leur incompréhension et leur inquiétude face à une mesure qu’ils jugent disproportionnée.

« Nous avons toujours travaillé dans le respect du bien-être animal, avec des norme…

C’est une victoire discrète, mais précieuse pour la biodiversité du Grand Nord. Près du cercle polaire, là où le froid règne en maître et la neige façonne les paysages, une silhouette légère et furtive réapparaît : celle du renard polaire. Symbole de l’Arctique, ce petit carnivore au pelage blanc immaculé revient aujourd’hui peupler les étendues scandinaves après avoir frôlé la disparition.

Au début des années 2000, ils n’étaient plus qu’une cinquantaine en Scandinavie. Victimes d’une chasse intensive pour leur fourrure d’une blancheur exceptionnelle, les renards arctiques ont presque été rayés de la carte. Puis, est venue une autre menace : le réchauffement climatique, qui modifie leur habitat et favorise la concurrence avec le renard roux, plus imposant et plus agressif.

Mais l’histoire ne s’arrête pas là. Des scientifiques norvégiens ont décidé d’agir pour inverser le cours des choses.

Il était l’un des grands absents de nos forêts pendant près d’un siècle. Mais depuis une trentaine d’années, le loup a fait son grand retour en France — pour le plus grand bonheur des défenseurs de la biodiversité, et au désespoir d'une partie du monde agricole.

En mars 2025, un événement rarissime s’est produit : un loup a été aperçu dans les Landes, une première depuis plus de cent ans. Ce n’est plus un cas isolé. L’animal étend progressivement son territoire, du massif alpin à la Bretagne, jusqu’à la Côte d’Azur et même les abords de villes comme Bormes-les-Mimosas.

Mais cette réapparition ne va pas sans heurts. Alors que sa présence redevient presque banale dans certaines régions, le statut du loup en Europe a évolué : en décembre 2024, il est passé de "strictement protégé" à "protégé" dans le cadre de la Convention de Berne. Une nuance juridique lourde de conséquences, qui pourrait affaiblir les mesures de protection dont il bénéficia…

Un incident tragique s’est produit ce lundi au large de la plage d’Hadera, en Israël. Un homme a été attaqué par un requin dans une zone où la baignade était pourtant interdite. Selon les médias locaux Times of Israel et i24news, le nageur aurait été mordu avant d’être entraîné sous l’eau par le squale. Depuis, il est porté disparu, déclenchant une vaste opération de recherche en mer.

Dès l’alerte donnée, un important dispositif a été mis en place : des sauveteurs sur jet-skis, épaulés par des hélicoptères, ont été mobilisés pour tenter de retrouver la victime. D’après la chaîne israélienne Channel 12, l’un des secouristes aurait également été blessé par un requin au cours de l’intervention, soulignant la rare violence de la situation.

Les côtes de Hadera et de Beit Yannai accueillent chaque année plusieurs espèces de requins, principalement ent…

Ce qui devait être un moment de tradition et de fête a tourné au chaos samedi dernier à Arcos de la Frontera, en Andalousie (Espagne). Lors d’un événement impliquant un lâcher de taureaux, l’un des animaux, pesant 570 kg, a franchi les barrières de sécurité pour se ruer dans la foule. Le résultat : plusieurs blessés et une peur panique partagée par des centaines de personnes présentes.

Vers 19 heures, lors de cette célébration traditionnelle populaire, le taureau a réussi à briser la barrière de sécurité censée protéger les spectateurs. Selon le média Ok Diario, l’animal s’est précipité sur les passants, provoquant une bousculade massive et des scènes de panique.

Au moins trois personnes ont été blessées, dont une femme de 60 ans grièvement touchée. Elle a pu être sauvée grâce à la pose rapide d’un garrot, selon les secours. Si l’animal a fini par être maîtrisé, l’onde de choc psychologiqu…

Chaque année, les chiffres tombent, et chaque année, ils suscitent le même malaise. En 2023, 2 046 754 animaux ont été utilisés dans des expériences scientifiques en France, selon le dernier rapport publié par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. Ce chiffre représente une baisse de 3,8 % par rapport à 2022, soit 81 304 animaux de moins. Une diminution timide, que les associations de défense animale jugent largement insuffisante.

La souris, cobaye numéro un

Sans surprise, la souris reste l’animal le plus utilisé en laboratoire, représentant 68 % des expérimentations, soit 1 387 275 individus. Suivent les lapins (9 %, 178 147), les rats (7 %, 145 078), et les poissons toutes espèces confondues (8 %). Ces chiffres rappellent à quel point l’expérimentation animale reste massive, malgré les progrès annoncés dans les méthodes alternatives.

Des procédures “légères”… mais pour qui ?

Le rapport du ministè…

C’est une annonce qui suscite l’indignation des défenseurs des océans. Jeudi 17 avril 2025, l’ancien président américain Donald Trump a signé un décret réautorisant la pêche commerciale et l’extraction de ressources dans l’une des plus vastes aires marines protégées au monde : le Pacific Remote Islands Marine National Monument, un sanctuaire océanique d’environ 1,3 million de kilomètres carrés, situé dans le Pacifique.

Un retour en arrière de plus de quinze ans

Créée en 2009 sous le mandat de George W. Bush, cette zone protégée avait pour objectif de préserver une biodiversité exceptionnelle et de limiter l’impact de l’activité humaine sur les écosystèmes marins. L’interdiction de la pêche industrielle et de l’exploitation minière était une avancée majeure pour la protection des océans.

Mais en réautorisant ces activités, Donald Trump marque une nouvelle rupture avec les engagements environnementaux de ses prédécesseurs. Pour Fra…

Chaque année, la période de Pâques sonne comme un temps fort pour la filière ovine française. Tradition oblige, de nombreux Français prévoient de cuisiner un gigot d’agneau pour le repas familial. Un rendez-vous gustatif important… mais qui cache une réalité bien plus complexe pour les éleveurs.

Un moment de reprise attendu… mais fragile

Pour les éleveurs ovins, Pâques marque un pic de vente essentiel. En Seine-et-Marne, David Tourte, berger et l’un des 115 éleveurs ovins d’Île-de-France, constate :

« Les derniers agneaux ont été vendus. Là pour Pâques, c’est quand même l’agneau pascal. Moi, j’ai 60 brebis, donc ça fait à peu près 50 agneaux en vente par an. Donc c’est important, et puis c’est une tradition de manger le gigot de Pâques en famille. »

Mais cette reprise reste précaire. En 2024, la filière a été durement frappée par plusieurs épizooties, notamment la fièvre catarrhale ovine (FCO), plus connue sous le nom…

Le 12 avril dernier, une macabre découverte a secoué la commune de Buffon, en Côte-d’Or. Ce jour-là, des agents des Voies navigables de France (VNF) ont repêché, dans le canal de Bourgogne, le corps sans vie d’un chien, soigneusement dissimulé dans un tissu, les pattes et la tête ligotées avec des lacets, son cadavre lourdement lesté de trois grosses pierres. Un acte de cruauté manifeste, qui suscite l’indignation et déclenche une enquête.

Selon le quotidien Le Bien Public, cela faisait deux jours qu’un agent des VNF apercevait un morceau de tissu flottant près de la berge. En s’en approchant avec ses collègues, ils ont pu le récupérer et y ont découvert le petit chien. Le jack russell avait visiblement été jeté volontairement à l’eau, dans l’intention claire qu’il ne puisse remonter à la surface.

« C’est inadmissible de se débarrasser d’un chien comme ça. […] Il lui manquait un morceau au niveau du cou, comme si…

C’est une révélation scientifique qui fascine autant qu’elle intrigue. Pour la première fois selon New Scientist, un calamar colossal vivant a été filmé dans son habitat naturel, au large des îles Sandwich du Sud. Une rencontre rare et précieuse avec l’un des animaux les plus mystérieux et énigmatiques des abysses.

Mercredi dernier, le média britannique New Scientist a publié une vidéo spectaculaire captée par le Schmidt Ocean Institute, une organisation à but non lucratif dédiée à l’exploration des océans. Les images montrent un jeune calamar colossal, d’un bleu translucide tacheté d’orange, ondulant avec grâce à environ 600 mètres de profondeur.

C’est une première observation confirmée de cette espèce mythique dans son milieu naturel — même si, comme le rappelle New Scientist, une tentative similaire avait été réalisée en 2023 par une autre équipe américaine. Mais à l’époque, la qualité des images …

Lundi dernier, une scène aussi impressionnante qu’émouvante s’est déroulée au San Diego Zoo Safari Park, en Californie. Alors qu’un tremblement de terre secouait le sud de l’État, les caméras de surveillance du parc ont capté une réaction saisissante d’un troupeau d’éléphants. Face à la menace, les pachydermes ont immédiatement formé un cercle protecteur autour de leurs plus jeunes membres.

Sur la vidéo partagée sur Instagram et relayée par la NRP, on observe trois femelles adultes se mobiliser en un éclair. Leur objectif : protéger deux jeunes éléphants âgés de 7 ans en les encerclant. Ce comportement porte un nom : le “cercle d’alerte”. Ce réflexe, bien connu des experts, illustre la solidarité sociale très développée des éléphants, tant en captivité que dans la nature.

« Les éléphants sont très sociables, ils prennent soin les uns des autres », explique Joshua Plotnik, spécialiste du comporte…