Actualité animalière

Chaque année, la France fait face à une crise silencieuse mais bien réelle : celle des abandons massifs d’animaux domestiques. En 2025, cette réalité a pris une tournure encore plus alarmante : près de 40 000 chiens et chats abandonnés n’ont pas pu être pris en charge par les refuges et associations, faute de place.

C’est le constat accablant révélé par un rapport de la SPA et de la fondation Affinity (Ultima), qui alerte sur l’épée de Damoclès qui pèse sur le système de protection animale français.

Les chiffres sont sans appel :

Soit près de 40 000 animaux laissés sans solution, livrés à eux-mêmes ou condamnés à une vie d’errance, de maltraitance ou d’euthanasie. Et selon les auteurs du rapport, ce chiffre est probablement sous-estimé, l’enquête ayant été men…

Chaque été, au cœur des rivières tumultueuses d’Alaska et du Canada, se joue l’un des spectacles les plus saisissants de la nature sauvage : la rencontre entre les saumons du Pacifique, qui remontent frayer, et les grizzlis affamés venus profiter de cette manne saisonnière.

Dans ces paysages de forêts boréales et de torrents glacés, la vie suit un rythme ancestral. Et c’est dans ce cycle immuable que se noue un duel fascinant entre instinct, survie et puissance animale.

D’un côté, les saumons du Pacifique, guidés par un instinct génétique millénaire, quittent l’océan et remontent à contre-courant les rivières où ils sont nés, parfois au prix d’un effort ultime. Leur objectif ? Frayer et mourir, assurant ainsi la pérennité de leur espèce.

De l’autre, les grizzlis (Ursus arctos horribilis), qui descendent des montagnes, guidés eux aussi par un besoin vital : faire le plein d’énergie…

Ce mercredi, un jeune randonneur de 29 ans a vécu une expérience terrifiante dans l’un des plus célèbres parcs nationaux des États-Unis. Alors qu’il parcourait le sentier de Turbid Lake, au nord-est du lac Yellowstone, il a été attaqué par un ours grizzly. Grâce à son sang-froid et à un spray anti-ours, il a pu repousser l’animal et survivre à l’attaque, bien que blessé.

Tout commence comme une simple journée de marche dans les paysages grandioses de Yellowstone. Mais sur le sentier isolé de Turbid Lake, le randonneur se retrouve nez à nez avec un grizzly. L’animal, probablement surpris, réagit de manière défensive – une situation connue pour être l’un des principaux déclencheurs d’attaques chez les ours.

Alors que le grizzly s’élance vers lui, l’homme parvient à sortir un spray répulsif, qu’il pulvérise dans la direction de l’ours. Le produit, très puissant, crée une barrière olfactive et irritante, suff…

Dans un monde de plus en plus soucieux du bien-être animal et de l’environnement, les mots végétarisme et véganisme sont partout. Beaucoup de personnes engagées pour la cause animale s’interrogent : Quelle est vraiment la différence entre les deux ? Est-ce juste une question de régime alimentaire ?

Sur un blog dédié aux animaux, il est essentiel de bien comprendre ces termes, car ils sont souvent liés à des valeurs de compassion, d’éthique et de respect du vivant.

Le végétarisme est un régime alimentaire qui exclut la viande, le poisson et les fruits de mer. Cependant, les végétariens continuent généralement à consommer certains produits d’origine animale comme :

Il existe plusieurs types de végétariens :

Le véganisme, souvent réduit à une simple exclusion des produits d’origine animale, est avant tout une position éthique. Bien au-delà de l’assiette, il interroge notre rapport aux animaux, à l’environnement et à la notion même de justice. Mais que défend vraiment le véganisme ? Et quelles sont les valeurs qui le fondent ?

Au cœur de l’éthique végane se trouve une idée simple : les animaux ne sont pas des ressources, mais des êtres sensibles, capables de souffrance, de plaisir, d’émotions. Le véganisme rejette toute forme d’exploitation animale, qu’il s’agisse :

Pour les véganes, exploiter un animal, même « sans cruauté apparente », revient à nier son droit fondamental à vivre librement.

Manger ou ne pas manger de viande ? Le végétarisme, bien plus qu’un simple choix alimentaire, s’appuie sur une réflexion éthique profonde : comment traitons-nous les animaux, et quelles responsabilités avons-nous envers eux ? Derrière ce mode de vie se cachent des convictions fortes, parfois dérangeantes, mais toujours porteuses de sens.

Au cœur de l’éthique végétarienne se trouve le refus de participer à la souffrance animale. Chaque année, des milliards d’animaux terrestres sont tués pour l’alimentation humaine, souvent dans des conditions intensives : privation de liberté, mutilations, stress chronique, abattage prématuré.

Pour beaucoup de végétariens, consommer de la viande, c’est cautionner ce système. Même les élevages dits « respectueux » posent question : peut-on vraiment parler de respect quand une vie est écourtée pour satisfaire un besoin non vital ?

Les animaux de compagnie ne sont plus seulement nos compagnons du quotidien : ils sont aussi devenus de véritables stars du web. Grâce aux réseaux sociaux, certains chiens, chats, lapins — et même cochons ou hérissons — attirent des millions de fans à travers le monde. Bienvenue dans l’univers du petfluencing, un phénomène aussi attendrissant que fascinant !

Le mot petfluencing est la contraction de pet (animal de compagnie) et influencing (influence). Il désigne ces animaux devenus influenceurs sur les plateformes sociales comme Instagram, TikTok, Facebook ou YouTube. Leurs comptes, souvent créés et gérés par leurs humains, racontent leur quotidien à travers des photos, vidéos, challenges ou sketchs drôles — et rencontrent un immense succès.

Le phénomène du petfluencing s’est imposé comme une véritable tendance. Des comptes animaliers cumulent aujourd’hui pl…